Particulièrement réactif durant la phase d’attaque, Adonis Clark a marqué cette partie de Capture l’Étendard de son nom. C’est en effet sa rapidité et sa vivacité qui l’ont aidé à se démarquer des autres spartiates, lui donnant ainsi une longueur d’avance pour donner l’avantage aux Guerriers de l’Amour. Tout ceci, associé à de bonnes réponses trouvées en un éclair, a permis d’alimenter le suspense de ce match, où Orphikos et Agapè étaient au coude à coude.
Les réflexes bien aiguisés d’Adonis et son attitude de véritable guerrier n’ont finalement pas mené son équipe vers la victoire, mais l’intention était bien là. Au-delà du score, c’est surtout son attitude qui a marqué les esprits, et dont l’on se souviendra. Malgré plusieurs duels et une bénédiction divine manqués, les Guerriers de l’Amour ont pu compter sur le soutien indéfectible d’Adonis pour les encourager à aller de l’avant.
L’attaquant n’a pas ménagé ses conseils et cris de guerre à l’attention de ses coéquipiers, qu’ils en soient à leur première partie de Capture l’Étendard ou soient déjà rodés à cet exercice depuis plusieurs saisons. En motivant sans relâche les Guerriers de l’Amour, Adonis a démontré qu’il était doté d’un bel esprit d’équipe et que les liens qui l’unissaient à ses coéquipiers étaient bien plus forts que les termes “victoire” ou “défaite”.