Les pires excuses d'Hermès
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Semaine 5 - WoO 20
Le créateur d’Hermès Express, Hermès, est sans aucun doute un personnage particulièrement inoubliable. Nous le constatons également dans la saga Percy Jackson où son auteur, Rick Riordan, a rendu cette divinité omniprésente au fil des tomes, lui offrant de nombreuses apparitions.
Au fur et à mesure des ouvrages, Rick Riordan nous dépeint une description d’Hermès plutôt conforme à ce que l’on connaît de lui dans la mythologie grecque.
Nous le connaissons tous pour les nombreux rôles qu’il endosse : dieu des voleurs, des voyageurs, des marchands, des routes ou encore le fait qu’il est le messager des dieux. Ce qu’on peut souligner en tout cas, c’est qu’il s’agit d’un dieu bien occupé. Pour autant cela ne l’empêche pas de se montrer facétieux, trait qu’il partage avec bon nombre de ses enfants.
Les Blogueurs de Delphes vous proposent de découvrir les cinq pires excuses que le dieu Hermès aurait donné pour justifier ou excuser une farce qui ne ferait pas rire tout le monde.
1. “C’était l’idée de George et Martha.”
Il est vrai que les deux fidèles serpents de son caducée ne quittent jamais Hermès, et sont, d’après ce que l’on peut voir d’eux dans la saga, particulièrement bavards. L’idée qu’ils puissent lui suggérer une mauvaise farce n’est peut-être pas si inconcevable que ça…
Mais ce serait bien faible de la part d’un dieu de l’envergure d’Hermès, un des Olympiens, de céder aux jérémiades de deux reptiles à la langue bien pendue et fourchue, et cette excuse devient vite moins efficace vue de cet angle…
2. “Je ne faisais que mon travail.”
Hermès compte bel et bien parmi ses nombreuses fonctions celle de dieu des voleurs, et c’est d’ailleurs cela qui explique les tendances kleptomanes de ses enfants.
Mais pas seulement ! En effet le dieu est également à la tête du service de livraison le plus célèbre du monde divin : Hermès Express. Et quel meilleur alibi que d’invoquer l’obligation professionnelle ?
Cette fameuse farce pourrait après tout être du fait d’un client, Hermès n’en était que l’exécutant.
3. “Ce ne serait pas un coup de Dionysos plutôt ?”
Si Hermès est un maître en termes de farces, il n’en détient pas la primeur, puisque d’autres dieux peuvent y recourir. On peut notamment citer Dionysos, dont l’un des attribut est la fête et qui par conséquent aime s’amuser, ce qui peut parfois se faire au dépend d’autrui.
Remettre la faute sur quelqu’un d’autre peut ainsi apparaître comme une bonne stratégie pour échapper aux retombées d’une farce qui aurait mal tourné.
4. “C’était peut-être de mauvais goût, mais j’ai créé un super instrument.”
Une des histoires incluant Hermès concerne le jour de sa naissance : à peine venu au monde, le jeune dieu a dérobé un troupeau de vaches à son frère, Apollon, un vol qui n’a pas du tout plu au dieu du Soleil. Et comment Hermès s’en est-il sorti ?
Il a inventé la lyre, et l’a échangée à Apollon en échange de son pardon ! Une stratégie pas forcément honnête, mais elle a le mérite d’être créative et d’avoir plu au dieu de la musique !
5. “C’est un quiproquo, j’avais mal compris !”
Il est vrai qu’Hermès incarne le vol dans ses deux sens : prendre son envol, et déposséder. Ainsi, rien n’empêche le message des dieux de prétendre ne pas avoir saisi l’ordre de “voler faire son travail” dans le bon sens.
Cette confusion est-elle excusable ? Après tout, qui ne s’est jamais trompé…
Et vous, est-ce que vous accepteriez les excuses d'Hermès face à ces justifications ?
Dites-le nous en commentaire !
L'équipe du
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