Le dernier arrivé chez les Olympiens, Dionysos, est sans aucun doute un personnage particulièrement inoubliable. Nous le constatons également dans la saga Percy Jackson où son auteur, Rick Riordan, a rendu cette divinité omniprésente au fil des tomes, faisant de lui le directeur de la Colonie des Sang-Mêlé.

Au fur et à mesure des ouvrages, Rick Riordan nous dépeint une description de Dionysos plutôt conforme à ce que l’on connaît de lui dans la mythologie grecque.

Nous le connaissons tous pour sa propension à ne pas s’impliquer dans le fait de prendre soin des demi-dieux, se montrant particulièrement ennuyé par son job et la punition que cela représente.

Les Blogueurs de Delphes vous proposent de découvrir les cinq pires excuses que le dieu Dionysos aurait donné pour se soustraire aux responsabilités associées à son poste de directeur de la Colonie.

Un grand classique. Après tout, pourquoi se fatiguer à inventer un bobard quand on a la chance d’être une divinité. Quand bien même Dionysos n’a juste pas envie de s’en charger, qui pourrait bien l’y forcer ? 

En dehors, bien sûr, d’une autre divinité, à l’origine de la punition l’ayant forcé à occuper ce poste en premier lieu, le roi des dieux, Zeus en personne. Mais bon, vu comment se sont déroulées les années avec Monsieur D à la tête du camp, il est peu probable que le dieu du ciel s’en soucie.

Le comble de la désinvolture se manifeste chez Dionysos avec la fâcheuse habitude qu’il présente d’écorcher les noms de tous les demi-dieux auxquels il a affaire. Le pensionnaire se voit alors affublé d’un nouveau patronyme en général assez proche de l’original, mais qui n’est pas le sien pour autant. Reste à déterminer si c’est quelque chose qu’il fait délibérément ou non.

Et vu le nombre de fois où le dieu du vin s’est évertué à déformer le nom du pourtant très célèbre Percy Jackson, il est plus que probable que ce soit volontaire, raison pour laquelle cette excuse semble si peu crédible.

Connu pour sa haine des héros, Dionysos peut avoir la fâcheuse tendance de menacer d’une métamorphose en bouteille de vin ceux qui l’agaceraient un peu trop. Percy lui même fut visé lors de sa rencontre new-yorkaise avec monsieur D. dans le tome trois de la saga.

Après tout, peut-être Percy aurait-il fait une bouteille de merlot très convaincante ? Du moins, cette excuse ne l’est pas forcément, et il est déconseillé de transformer des pensionnaires dont on a la charge en boisson, que ce soit du vin ou du Coca Light.

Parmi les rôles attribués à Dionysos, on trouve celui de dieu de la fête, qui lui offre la possibilité de se présenter à n’importe quelles festivités, puisqu’il se voit automatiquement invité. Une raison suffisante à ses yeux pour se laisser tenter, après tout qui pourrait résister à l'appel de la fête ?

Cela lui permet donc d’assister à toutes sortes de festivités, bien qu’il soit fort probable que le dieu ait des préférences en la matière.

Dionysos montre à plusieurs reprises un étrange enthousiasme lorsqu’il s’agit d’envoyer de jeunes demi-dieux accomplir des quêtes plus périlleuses les unes que les autres. Comment justifier cela ?

Le tome cinq de la saga nous apprend que le dieu apprécie les jeux vidéos, notamment lorsqu’il est vu en train de jouer à Pac-man. Peut-être est-il persuadé que les héros fonctionnent de la même manière ? En tout cas, il faudrait confirmer à Dionysos qu’une fois qu’un demi-dieu est mort, il est peu probable qu’Hadès accepte de le lui rendre.

Et vous, est-ce que vous accepteriez les excuses de Dionysos face à ces justifications ?

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